Auteur/autrice : Emeline

Présentation par Michel Jeanvoine « Scènes de la vie psychiatrique ordinaire »

Scènes de la vie psychiatrique ordinaire.

À mots passants…

Introduction

L’idée d’une rubrique « Scènes de la vie psychiatrique ordinaire » m’est venue au cours de discussions du comité de rédaction du Journal Français de Psychiatrie où il était question des illustrations du journal, qui se voulaient incisives et insolites : pourquoi, alors, ne pas faire des croquis de situations prises sur le vif, dans lesquels les praticiens, les divers intervenants en psychiatrie, voire tout un chacun, pourraient se retrouver à des niveaux de lecture différents ?

Aussitôt, a surgi la pensée à la fois pertinente, nostalgique et saugrenue, que je n’aurai jamais le talent d’un Guy de Maupassant, un des auteurs que j’admire le plus, pour mener à bien ce genre de projet.

Maupassant ? Mais… C’est au fil des mots… C’est à « mots passants » que l’on se forge à cette praxis qu’est la psychanalyse ! C’est ainsi que l’on repère les signifiants qui nous construisent, nous façonnent et orientent nos propos ! Dans cette affaire, c’est bien mon analyste qui fut et reste mon « gui-de » ! Eh bien donc, qu’hommage soit rendu à mon « guidemotpassant » !

Je tins donc la gageure de contribuer modestement au JFP par ces petits écrits.

En effet, les professionnels y retrouvent une clinique vécue par delà les cadres nosographiques qu’ils y repèrent ; les sujets en scène se côtoient et se sollicitent les uns les autres, avec la surprise d’être pris dans une logique que, depuis l’enseignement de Jacques Lacan, nous appelons la logique du signifiant.

Les profanes, quant à eux, y expérimentent, avec une vision congruente à celle des professionnels, que la clinique est inséparable de la société dans laquelle nous vivons et même qu’elle s’y constitue.

Cela signifie que, pour toute personne humaine, il s’agit d’une articulation langagière dans un environnement social particulier ; seuls les mots ont de l’esprit et les signifiants véhiculent le savoir du sujet de l’inconscient.

Le champ de la psychiatrie et celui de la psychanalyse, s’ils ne se recouvrent pas exactement l’un l’autre, ne peuvent être dissociés car tous deux ont à faire à cet être bizarre à la fois unique et extrêmement répandu qu’on appelle l’être parlant.

Chaque acteur est pris indissociablement dans les processus psychiques qui lui sont propres et ceux sur lesquels il est censé agir. Ces processus ont la particularité d’être gouvernés par l’inconscient que d’aucuns, dont Charles Melman, fondateur du journal, disent être du social.

Pourtant, même si la présence de l’inconscient est éminemment partagée par chacun, les places occupées par les sujets en question ne sont ni identiques ni symétriques suivant les situations en scène. Celui qui prend la responsabilité de s’exercer à la clinique acquiert un pouvoir sur autrui, qu’il soit médecin ou psychanalyste, pouvoir qui ne s’évalue que par l’intensité du transfert qu’il suscite. Pouvoir et transfert sont les deux aspects d’une place à l’épreuve de laquelle le sujet pris dans une structure va se trouver plongé ; malgré qu’il en ait, s’il ne sait pas sur quoi se fonde son acte, mais averti de sa charge et de ses ressorts s’il en a lui-même éprouvé les effets durant sa propre analyse.

Nicole ANQUETIL

 

A CROQUER !

Nicole Anquetil vient de nous proposer aux éditions Érès, avec une préface de Charles Melman, un petit livre épatant intitulé Scènes de la vie psychiatrique ordinaire. Un petit livre qui a su – et Dieu seul sait par quels mystères ! – me mettre en appétit. Ce livre, qui traite de la clinique psychiatrique et de la place du psychiatre dans le social d’aujourd’hui, a su faire de ces questions une seule et même question : mettre le lecteur en appétit. C’est-à-dire le solliciter dans son désir de lecteur. Comment mieux nous faire entendre que cette clinique, que ce social, est une affaire de désir, sinon en venant toucher celui du lecteur qui accepte le pari d’entrer dans cette partie ?

Comment un tel miracle est-il possible ? Et dans quelle marmite magique tombe le lecteur innocent (?) qui feuillette nonchalamment ce livre ? Un livre un peu particulier puisque celui-ci n’a pas de début ni de fin. En effet on peut le lire au hasard et jouer le jeu de l’errance : c’est par là que le charme opère. C’est là mon seul conseil de lecture : se laisser prendre à cet au-delà de la signification. Un au-delà habité par quelque chose du trait capable de faire de chacune de ces scènes Une scène à chaque fois singulière et pourtant capable, de par l’effet de série, de hisser chacune de ces scènes singulières au rang de paradigme. Et cet effet, lié au trait, s’en trouve redoublé par celui de l’illustration qui court comme un contrepoint à chacune de ces aventures cliniques. Cette opposition, entre le trait de l’illustration et ce trait qui fait de chacune de ces scènes Une scène, prend le lecteur à ce tour de force qui consiste à faire entendre, dans l’au-delà de ce tragique, le lieu vide d’une vérité qui parle. Il y a là comme une étoffe, sans début et sans fin, où, de cette toile et de ses entrelacs, sourd cette dimension de la vérité qui, comme dans le mot d’esprit, se proposerait un instant à la saisie en nouant la vie à la mort. Ce livre traite, en acte, du paradoxe et de la vérité. C’est un livre d’art, de poésie. Et un livre rare.

JEANVOINE Michel


Résumé – présentation

Au fil des parutions du Journal français de psychiatrie, Nicole Anquetil a dressé de petits tableaux incisifs, parfois déroutants, souvent inattendus, de situations psychiatriques. Pour notre plus grand plaisir, les voici rassemblés, enrichis de nombreux inédits et accompagnés des gravures et dessins de Laurence Teboul qui nous en livre une interprétation artistique. Qu’elles se déroulent dans l’hôpital, dans un centre médico-psychologique, dans un cabinet privé ou même dans la rue, ces scènes prises sur le vif sont directement en relation avec le paysage social. 

Elles témoignent, au-delà du champ de la pathologie, de notre expérience commune de la difficulté de vivre. La clinique du psychisme ne peut se passer ni de l’écoute ni du transfert, avec les surprises qu’ils engendrent du fait d’être gouvernés par les lois du signifiant, étoffe et production de l’inconscient. Psychiatrie et psychanalyse, depuis Freud et Lacan, ne peuvent que déployer et enrichir leurs entrelacs dans le questionnement clinique que nous vivons aujourd’hui.

 

Préface

Le croquis n’est pas une forme consacrée des ouvrages de psychiatrie. On devine qu’après cette brillante publication il risque d’en devenir une forme obligée.

Ce sera pour le bien de tous, car il constitue cette situation rare où l’instant de voir se confond avec le temps pour comprendre et sollicite l’urgence du moment de conclure. Autrement dit chacun y révèle, comme nulle part ailleurs, les limites de son acuité et la pertinence de son talent ; et ce dans un domaine où le fou est en compétition avec son observateur, au risque, si bien évité ici, de le montrer inégal.

Car ce qui retranche le fou de la société ce n’est pas, cher Michel Foucault, de faire défaut à la raison mais bien de manquer au service de la jouissance commune, qu’il s’agisse du travail ou de la b…

La question alors n’est pas tant de savoir où le mettre que de lui inventer une place, l’asile, ou à défaut le ranger parmi celles qui nous sont familières.

Après l’hôpital, c’est aujourd’hui la prison. C’est bien normal puisque de la loi nous ne connaissons plus que celle du Code civil. L’inconscient devient ainsi une infraction et la geôle un lieu thérapeutique idéal (textuel dans un rapport récent sur la psychiatrie).

Les remarquables croquis ici publiés vont permettre de ce démontrer si la folie ne va pas être l’ultime refuge des expressions de l’esprit et des contraintes de la raison. Espérons qu’elles ne vont pas trop perturber un personnel pénitentiaire et sanitaire qu’il faudra placer sous neuroleptiques.

La référence au délicieux Maupassant ne pourra plus alors suffire. C’est le vitriol des auteurs les plus enragés qui sera recommandé.

Par la grâce de ses croquis, Nicole Anquetil rétablit avec le fou le plus estimable des échanges, devenu rare, le plaisir de la conversation. Qui sait ? Peut-être est-ce lui qui aura la charge de la conserver.

Charles MELMAN

Acte des colloques, FEVRIER 2019, Clinique de la temporalité?

Une clinique de la temporalité ? 

 

Collège de Psychiatrie 

Février 2020

à l’Hôpital Henri EY 

15, Avenue de la Porte de Choisy-Paris 75013

 

Comment aborder, aujourd’hui, la question du temps, mieux, celle de la temporalité, dans notre clinique? Nous avons l’intuition, comme beaucoup de cliniciens, et ceci depuis très longtemps, voire depuis l’aube de la clinique, que cette question est centrale. Et cependant nous restons très embarrassés. Embarras qui mérite d’être pris au sérieux et qui participe de la question.  En effet avancer sur ce fil suppose, pour nous, faire un pas dans nos repères cliniques. 

Si notre réalité est bien organisée par notre fantasme, celle-ci relève d’un lien, d’une solide articulation ou nouage, qui distribue temps et espace. Cependant cette articulation ne va pas de soi puisque la clinique des psychoses nous enseigne qu’un dénouage est possible. Il nous faudrait alors pouvoir un instant s’arrêter sur les conditions d’un tel nouage. LACAN nous a proposé, d’une manière anticipée en 1945, quelques-uns de ses éléments de réponse avec la solution du temps logique qui noue temps et espace en même temps que sujet et collectif. Il en suivra le fil renouvelé tout au long de ses séminaires jusqu’au « Moment de conclure ». Dans cette première journée, autour de cette question, nous prendrons le temps de la clinique en balisant notre champ. Aussi bien du côté des psychoses avec les singularités que nous aurions à relever que celle de la névrose avec d’autres singularités, cette fois-ci, dans la mise en jeu de l’espace et du temps. 

Mais pas seulement, il nous faut relever, en effet, l’embarras spécifique des philosophes sur ce point et les impasses auxquelles ils se trouvent ainsi introduits. Cette journée est une introduction à cette question cruciale et inaugure un cycle, une nouvelle séquence de travail avec cette question : y aurait-il une clinique de la temporalité?   

Comité d’organisation : ANQUETIL Nicole, BELOT-FOURCADE Pascale, BENRAIS François, BLANADET Françoise, CAMPION-JEANVOINE Martine, DAUDIN Michel, FROISSART Josiane, GARRABE Jean, JEANVOINE Michel, MOINS Pascale, PONT-MONFROY MarieHélène.

 
Samedi 1er février 2020

9 heures 30 – 12 heures 30

Président de séance : Jean-Jacques LEPITRE

Discutants : Marie-Hélène PONT-MONFROY et Bernard DELGUSTE

9 heures 30 : – Michel JEANVOINE : « Une lecture du « Temps logique » de J. LACAN. Remarques et conséquences. »

11 heures 15 : – Alain HARLY : « Remarques cursives sur la temporalité dans la perversion. »

14 heures 30 – 17 heures

Président de séance : Michel JEANVOINE

Discutants : Josiane FROISSART et Pascale MOINS

14 heures 30 : – Marie WESTPHALE : « L’automatisme mental : à travers un cas clinique et les apports de DE CLERAMBAULT. »

16 heures : – Gérard POMMIER : « L’espace-temps résolu dans la séance. »

Dimanche 2 février 2020

 9 heures 30 – 12 heures 30

Président de séance : Martine CAMPION-JEANVOINE

Discutants : Marika BERGES-BOUNES et Alain HARLY

9 heures 30 : – Catherine FERRON : « De quoi le futur antérieur est-il le nom ? »

10 heures 30 : – François BENRAIS et Josiane FROISSART : « Ce n’est pas ce que j’ai dit. »

11 heures 45 : – Michel DAUDIN : « Comment « être de son temps » ? »

14 heures 30 – 17 heures

Président de séance : Michel DAUDIN

Discutant : Françoise BLANADET et Martine CAMPION-JEANVOINE

14 heures30 : – Nicole ANQUETIL : « Temporalité signifiante du sujet. »

16 heures : – Christiane LACOTE-DESTRIBATS : « De quelle manière les psychanalystes peuvent-ils apprendre des poètes et des écrivains sur le temps ? »

 ——————————————————————————————————————-

 
De quoi le futur antérieur est-il le nom?
FERRON Catherine
 
L’automatisme mental: à propos d’un cas clinique
WESTPHALE Marie
 
Temporalité signifiante du sujet
ANQUETIL Nicole
 
Il était une fois … un pére.
FROISSART Josiane
 
Comment « être de son temps »
DAUDIN Michel
 
Une lecture du « Temps logique » de J. LACAN
JEANVOINE Michel
 
L’espace-temps résolu dans la séance 
POMMIER Gérard
 
Ce que les écrivains et les poêtes enseignent aux psychanalystes
LACÔTE-DESTRIBATS Christiane
 
« C’est pas ce que j’dis »
BENRAIS François
 
————————————————————————————————————————————————————————–

AUTRES TEXTES 

 
Temps et temporalité : Phénoménologie et psychopathologie du temps.
GARRABE Jean
Le temps logique
PONT-MONFROY Marie-Hélène
« Le point-maison » ou « Comment j’ai pu tramer ma réalité »
JEANVOINE Michel


En région

RÉGION CENTRE

La situation sanitaire actuelle permet la reprise du travail de la clinique sous certaines conditions : le passe sanitaire. Les conditions pouvant se modifier chaque personne interessée doit prendre contact avec une des personnes responsables de ce travail clinique en région.

Inscrite dans la tradition médicale au titre de moyen pédagogique, la présentation de malade a pu donner lieu dans le champ de la psychiatrie à des pratiques où le projet de transmission s’effaçait devant les effets de prestance. Cependant il s’est maintenu quelques lieux où le souci d’un enseignement n’était pas contradictoire  avec celui du soin. Notons que là où ce fut le cas, l’orientation psychanalytique a pu être bienvenue. Et rappelons que Lacan a apporté lui-même un soutien continu à cette pratique. 

Présentations cliniques et enseignements :

–  Niort
  •  Leçons cliniques encadrées par Alain HARLY.     
  • Groupe d’étude « Approche lacanienne de la psychose”, le premier mercredi du mois de 17 heures à 19 heures. Au programme, le séminaire de J. Lacan sur “Les structures freudiennes des psychoses”.

Prendre contact avec Alain HARLY : 

alainharly@wanadoo.fr,  ou tel. : 05 49 88 84 09.

 Poitiers :

Les « leçons cliniques de Minkowski » (pour l’instant, suspendues).

 

RÉGION PARISIENNE

 

Présentations cliniques et enseignements :

Sont inscrites au Collège les présentations cliniques de :

– l’Hôpital Paul-Guiraud, Villejuif.

Animées par Nicole Anquetil, Jean-Marc Faucher, Monique Grinard, Michel Jeanvoine, en articulation avec Emeline Fitoussi, sous couvert du Dr. Anne Rauzy, médecin-chef de pôle au CHPGV et du Dr. Juliette Gremion, médecin-chef de 94G13. Le 3ème jeudi du mois à partir de septembre (hors vacances scolaires) de 10h à 11h30

Inscription indispensable auprès du Dr. Nicole Anquetil au 06 07 03 05 44.

À cet enseignement est attachée la « Fabrique du cas » qui appartient, et en constitue une partie essentielle, à la présentation clinique.

La Fabrique du cas aura lieu à l’ALI, au 25, rue de Lille, Paris, le 3ème mercredi de certains mois de 21h à 22h30. (planning à demander à Mme Emeline Fitoussi au 06 98 77 33 82 ou par email emeline.fitoussi@gh-paulguiraud.fr).

– l’Hôpital Henri EY, Paris 13.

Dirigées par le docteur Michel Daudin et coordonnées par Mme Marie-Hélène Pont-Monfroy, Psychologue clinicienne. Les 2ème et 4ème lundis de 14 heures à 16 heures. Sous la responsabilité du Docteur Alexandre Christodoulou, Chef de pôle 75G05.

Préinscription obligatoire auprès du secrétariat (y compris pour les participants des années précédentes).

Pour tous les renseignements, contacter le secrétariat du Secteur 75 G 05 – Hopital Henri Ey – 15 avenue de la Porte de Choisy – 75013 PARIS  01 69 25 43 90 –  01 69 25 43 94, ou par mail secretariat-75g05@gpspv.fr

RÉGION BRETAGNE

 

Présentations cliniques :

–  Brest : 

Joindre le Dr Patricia LECOAT Tel: 06 08 70 95 01 ou le Dr  WESTPHALE Marie marie.westphale@yahoo.fr   

 

EN BELGIQUE 

Les présentations cliniques sont pour l’instant suspendues. 

 

Assemblée fondatrice

Cher(e) collègue,

Ce Collège répond à des constats préoccupants quant à l’orientation de la psychiatrie actuelle. Au moment où la psychopathologie est déterminée à partir des effets médicamenteux, où la maladie mentale peut-être réduite à un déficit ou à un dysfonctionnement cérébral, ou bien encore rapportée à une classification symptomatique, il est important de contribuer à promouvoir un espace de recherche clinique en psychiatrie fondé sur les études traditionnelles d’observation au cours des entretiens, et d’en assurer la transmission…

La déclaration d’activité a été enregistrée sous le numéro :

11 75 41067 75

Cotisation annuelle : 80 

Etudiants : 40 

La première Assemblée Générale ordinaire de l’association a eu lieu le Samedi 3 Février 2007, à 18h à l’Hôpital Henri Ey, 15, avenue de la porte de Choisy, 75013 Paris métro Porte de Choisy

Le rapport moral et le rapport financier ont été approuvés à l’unanimité.

Les mêmes séminaires régionaux existants seront reconduits pour l’année 2007-2008, les journées d’études régionales et nationales seront annoncées régulièrement sur le site, des groupes de recherches vont s’organiser par régions sur des thèmes proposés par les responsables.

- Michel Patris à Strasbourg pour l’Automne 2009, « rapport entre psychiatrie et discours totalitaire ». Au Conseil de l’Europe, reprise d’un point de vue historique.

- Jean Garrabé, journées du Collége avec L’évolution psychiatrique. Avec instauration de travaux relais, thèmes à préciser.

- Yannick Cann, propositions de constituer des commissions de travail, régionnales, entre membres du collége sur certains thèmes en vue de congrés tous les deux ans ?

- Claude Jeangirard : constitution de séminaires de formation à la clinique de Chailles de quelques jours, en immersion totale, avec des psychiatres libéraux sur ce qu’il en est de la nosographie.

- relancer le projet d’une Histoire de la clinique psychiatrique, avec sociologie et politique de la psychiatrie.

Des démarches se sont engagées pour l’agréement de notre association en tant qu’organisme de formation auprés du Ministère de l’emploi, de la cohésion sociale et du logement.

Nous serons trés reconnaissants à nos membres pas tout à fait à jour de leurs cotisations d’avoir la gentillesse d’y remédier.

Conseil d’Administration

Nicole Anquetil François Benrais Jean-Louis Chassaing Michel Daudin Michel Demangeat Martine Gros Jacques Hébert Michel Jeanvoine Jaqueline Légaut Marc Morali Jean-Pierre Rumen Thierry Jean Jean-Jacques Xambo

Les membres fondateurs, Messieurs Yannick Cann , Jean Garrabe, Claude Jeangirard, Charles Melman et Michel Patris y faisant partie de droit, le CA se compose ainsi de 18 membres.

Le Bureau se compose des membres suivants :

Dr Jean Garrabé, Président Dr Nicole Anquetil, Secrétaire Générale Dr Yannick Cann, Trésorier

A ce bureau ont été adjoints 4 membres :

Les Drs Jean-Louis Chassaing, Michel Daudin, Michel Jeanvoine et Thierry Jean.

Organisation des tâches

Dr Jean GARRABE, PrésidentDr Nicole ANQUETIL, Secrétaire Générale, Drs Michel JEANVOINE et Thierry JEAN secrétaires Généraux adjoints

Dr Yannick CANN, TrésorierDr Jean-Louis CHASSAING Trésorier-adjoint

Se sont chargés de l’accueil et de l’admission des membres liée à la question des enseignements du Collège, les Drs N.ANQUETIL et Michel JEANVOINE ainsi que le suivi du site. Coordination des données générales.

Se sont chargés de l’enseignement et de l’organisation des journées d’étude (recueillir ce qui se fait à l’initiative des régions et ce qui est proposé en enseignement continu, initier de nouveaux axes, à quel rythme établir les manifestations qui tendent à une dimension nationale quelque soit leur lieu, la diffusion) les Drs Jean-Louis CHASSAING et Thierry JEAN .

Actualité et publication

ACTUALITÉ

JOURNÉES DE FÉVRIER 2023

Dates à venir : 04 & 05

SÉMINAIRES DU MERCREDI

Chaque 4 éme mercredi du mois, à 21 heures, à partir de fin novembre se tient à l’Hôpital Henri EY (Avenue de la Porte de Choisy – PARIS – 75013) une rencontre clinique animée par un cartel de travail où la clinique se trouve présentée et discutée. Entrée libre. Pour s’inscrire joindre: Mme Pont-Monfroy mh.pont-monfroy@orange.fr ou Mr Jeanvoine collegepsychiatrie@gmail.com.

Dates à venir :

23/11/22
25/01/23
22/01/23
24/05/23
28/06/23